« Il faudrait trouver un moyen de la rendre plus accessible pour les membres du personnel régional. On pourrait peut-être tenir plusieurs conférences dans des centres régionaux, si les ressources le permettent. »
Notre approche d’élaboration de la Conférence de la Communauté des politiques 2018 peut se résumer en un mot : délibéré.
Nous avons délibérément choisi le plan, le contenu et la prestation de la Conférence de façon à nous assurer qu’elle reflète les besoins et les valeurs de la Communauté des politiques.
Les principes fondamentaux de la Communauté des politiques sont la collaboration, le partenariat et la cocréation. Nous savons que rassembler plusieurs esprits dans un processus d’exploration et de création permet de trouver certaines des meilleures idées.
L’équipe responsable de l’élaboration de la Conférence était composée d’environ 20 membres, et les 24 séances simultanées ont été préparées et livrées par plus de 100 collaborateurs. Ces partenaires provenaient de la fonction publique fédérale, provinciale et municipale, de groupes de réflexion, du milieu universitaire et d’organisations sans but lucratif.
La Communauté des politiques a aussi pour principe directeur d’être axée sur les utilisateurs et animée par la communauté. Les participants à la conférence inaugurale en 2017 nous ont indiqué qu’ils aimeraient que les séances soient plus interactives et qu’il y ait plus d’occasions de tisser des liens. Nous les avons écoutés et avons transformé les séances plénières de la Conférence en courts « FedTalks » afin d’offrir un plus grand nombre de séances simultanées dans quatre formats différents : les Ateliers, les Conversations sur l’Art du possible, le Salon des Conférenciers et le Salon Contacts.
Nous avons jumelé 100 participants deux par deux dans le cadre de rencontres-café à l’aveugle, soit des conversations avec une personne provenant d’une autre organisation. Ces activités ont permis d’offrir des expériences immersives durant lesquelles les participants ont pu jouer un rôle important, explorer les enjeux, les approches et les outils liés aux politiques et tisser des liens durables.
L’ inclusion est aussi un principe qui est au cœur de la communauté. Nous avons lancé les inclusion invitations à un large public afin de nous assurer d’une vaste représentation : nous avons encouragé les ministères bailleurs de fonds à remettre leurs billets à tous ceux qui contribuent à façonner les politiques (p. ex. employés qui ne sont pas dans la classification EC, employés régionaux), avons organisé un concours afin de remettre des billets aux membres de la communauté et avons invité des partenaires provenant de l’ensemble de l’écosystème des politiques.
Nous avons réuni une brochette de conférenciers et d’experts en prenant soin d’assurer un équilibre entre les hommes et les femmes et entre les différents parcours et points de vue, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du gouvernement.
Nous avons également utilisé des approches et des outils inclusifs. Par exemple, grâce à l’outil de sondage en ligne Sli.do, toute personne qui le souhaitait a pu poser des questions de façon anonyme et à partir de n’importe où à l’aide d’un appareil mobile.
Nous avons créé un guichet unique virtuel où les participants virtuels pouvaient trouver, sur une même page, tous les outils dont ils pouvaient avoir besoin – la webdiffusion des séances plénières, Sli.do, Twitter, une boîte de dialogue et un lien vers GCcollab.
Pour les personnes qui ne pouvaient pas assister à la Conférence en personne dans la RCN et les régions, nous avons prévu un moyen de vivre le dialogue, l’apprentissage et les interactions qui se déroulent à la Conférence avec leurs collègues et leurs équipes. Avec l’aide de nos partenaires, nous avons créé la « Conférence dans une boîte » (CDUB), un ensemble de guides de facilitation et d’amorces de conversation qui reflétaient le contenu de la Conférence en personne. Des groupes de partout au Canada ont utilisé la CDUB et ont pu tenir des discussions riches et passionnées tout en apprenant. La conférence est terminée, mais la CDUB est toujours disponible : et animer les exercices avec ses collègues chaque personne peut télécharger et équipes.
525 participants de 68 organisations
Gouvernementales
Non-gouvernementales
150+ participants virtuels
45+ organisations
La communauté a parlé. Plus de 120 personnes ont rempli notre sondage post-conférence et ont formulé des commentaires à propos de leur expérience. Nous avons reçu d’excellents commentaires ainsi que des idées de changements et des points à améliorer.
Plus de 88% des répondants ont indiqué qu'ils avaient appris de nouvelles qui s'appliquent à leur travail quotidien.
Plus de 87% des répondants ont indiqué qu'ils ont été mis au défi de penser différemment.
Plus de 85% des répondants ont indiqué qu'ils ont été mis au défi de se comporter ou de faire les choses différemment.
Plus de 76% des répondants ont indiqué qu'ils ont tissé des liens avec des gens qui travaillent dans différents ministères et qui occupent divers rôles dans l'ensemble de la fonction publique fédéral et à l'extérieur du celle-ci.
« J’ai de nouveau espoir que les choses peuvent changer.»
« Le fait d’écouter des conférenciers et d’entendre des idées différentes/nouvelles auxquelles je n’aurais pas pensé dans ma vie professionnelle ou, d’ailleurs, dans ma vie personnelle de tous les jours. À mon avis, c’est l’impact le plus important de la conférence, parce que c’est ce qui inspire tous les participants à agir.»
« Apprendre que le travail que je fais en lien avec les politiques a une véritable raison d’être – comme je n’occupe pas un rôle de praticien dans la formulation des politiques, cela a été très utile pour valider mon travail. »
« La rencontre-café à l’aveugle était une idée fantastique. Je suis tout à fait d’accord pour que d’autres rencontres de ce type soient organisées. »
Il s’agissait seulement de la deuxième conférence annuelle, donc nous avons encore beaucoup à apprendre. Nous prenons note des points que notre communauté nous suggère d’améliorer.
« Il faudrait trouver un moyen de la rendre plus accessible pour les membres du personnel régional. On pourrait peut-être tenir plusieurs conférences dans des centres régionaux, si les ressources le permettent. »
« Il y avait beaucoup de monde et l’ordre du jour n’a pu être suivi pour certains points. Un peu plus de marge de manœuvre dans l’ordre du jour pourrait faciliter un meilleur déroulement, même quand certains conférenciers prennent plus de temps que prévu. »
« Il y avait trop de séances simultanées parmi lesquelles choisir... Il m’était impossible d’assister à tout ce que je voulais voir, quoi que je fasse! On pourrait envisager d’offrir les mêmes séances à des heures différentes, pour un peu plus de souplesse? »
« Il faudrait trouver un moyen de la rendre plus accessible pour les membres du personnel régional. On pourrait peut-être tenir plusieurs conférences dans des centres régionaux, si les ressources le permettent. »
« Il y avait beaucoup de monde et l’ordre du jour n’a pu être suivi pour certains points. Un peu plus de marge de manœuvre dans l’ordre du jour pourrait faciliter un meilleur déroulement, même quand certains conférenciers prennent plus de temps que prévu. »
« Il y avait trop de séances simultanées parmi lesquelles choisir... Il m’était impossible d’assister à tout ce que je voulais voir, quoi que je fasse! On pourrait envisager d’offrir les mêmes séances à des heures différentes, pour un peu plus de souplesse? »
Lisez les résumés ci-dessous ou revoyez la diffusion Web.
Rachel Wernick et Neil Bouwer ont donné le coup d’envoi à la conférence en soulignant le chemin parcouru depuis la conférence inaugurale de l’an dernier.
Au cours de la dernière année, la Communauté des politiques, qui est inclusive et pluridisciplinaire, a été officialisée : elle est appuyée par plus de 20 ministères bailleurs de fonds, un conseil de gouvernance des SMA et un bureau spécialisé.
Les trois piliers de l’action et les livrables connexes qui appuient la communauté sont les suivants :
Ces efforts (1) se fondent sur des partenariats, tant au sein de la fonction publique fédérale qu’à l’extérieur de celle-ci, (2) sont animés par la communauté et (3) favorisent l’action. Wernick et Bouwer ont terminé la discussion en lançant un appel à l’action aux membres de la communauté : il faut adopter une attitude ouverte, savoir foncer et faire preuve de créativité et d’audace!
Jason Saul, Chef de la direction, Mission Measurement
Dans le cadre de son intervention sur la mesure des politiques sociales, Jason Saul a souligné certaines des difficultés associées à la mesure des résultats dans la profession des politiques : le manque d’outils de prévision disponibles pour mesurer efficacement les résultats avant que des investissements soient faits, et la « boîte noire » des résultats d’évaluation.
Les mesures d’évaluation actuelles sont subjectives, et en adoptant le pouvoir de l’uniformisation pour créer un langage commun, nous pourrions procéder à des analyses comparatives et assurer un apprentissage systématique.
En terminant, Saul a mis les participants au défi de créer des outils qui feront progresser notre profession et leur a posé la question suivante : « Comment pouvons-nous innover dans notre domaine? »
Nitika Agarwal, Directrice de l’exploitation d’Apolitical
Nitika Agarwal a animé une discussion en plénière qui était axée sur quatre étapes pratiques pour renforcer la confiance à l’égard du gouvernement :
Première étape : Créer une culture qui reconnaît que l’établissement de rapports de confiance entraîne d’importants avantages.
Deuxième étape : Renforcer la confiance à l’interne en faisant appel aux connaissances, à l’expérience et aux relations.
Troisième étape : Considérer les politiques, la prestation et la communication;
Quatrième étape : comme un tout, et non comme trois éléments distincts. Agir comme un humain, et non pas comme un bureaucrate anonyme.
Agarwal a ensuite relaté son intervention dans son blog -Disponible ici
Marta Morgan, Sous-ministre, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada
Jean-FrançoisTremblay, Sous-ministre, Services autochtones
D’après la sous-ministre Marta Morgan, les éléments suivants sont essentiels pour être un praticien pertinent et percutant de la politique moderne :
Le sous-ministre Jean-François Tremblay a fourni aux praticiens des politiques ses 10 conseils :
1. Mobilisez au fur et à mesure
2. C’est l’intelligence de votre réseau qui détermine la vôtre
3. Réservez du temps pour la politique en profondeur et l’innovation
4. Soyez toujours prêt à saisir les occasions qui se présentent
5. Pensez au court terme et à la vision à long terme
6. Collaborez avec les autres
7. Concentrez-vous sur votre valeur ajoutée
8. Sortez de votre zone de confort
9. Demandez-vous si la politique peut être vendue
10. Favorisez l’innovation (plutôt que l’imposer), puis mise à l'échelle
Michael Wernick, greffier du Conseil privé
Madeleine Redfern, mairesse d’Iqaluit
Jonathan Dewar,directeur exécutif, Centre de gouvernance de l’information des Premières nations
Richard Budgell, directeur exécutif régional,QC,Direction de la santé des Premières nations, SAC
Deborah Richardson, sous-ministre, Relations avec les Autochtones et Réconciliation,ON
Le greffier a dirigé une discussion sur la façon dont nous abordons les questions de politique pour faire progresser la réconciliation. Les panélistes ont discuté de ce en quoi consistent les approches axées sur la réconciliation en pratique, et de l’évolution continue qui est nécessaire pour intégrer les approches axées sur la réconciliation dans l’ADN de la Communauté des politiques.
La discussion a été bien reçue par les participants sur place et en ligne, comme en témoignent toutes les pensées partagées sur Twitter. En ce qui concerne les prochaines étapes immédiates, le greffier
lancé à la Communauté des politiques le défi d’élaborer
une liste d’ouvrages autochtones.
Les participants ont aussi été explicitement invités à sortir et à parler aux Canadiens!
Gayemarie Brown PDG et fondatrice de Wintam Place Consulting
Gayemarie Brown a lancé son intervention en soulignant que l’I.A. fait beaucoup plus partie de nos vies quotidiennes que la plupart des gens le croient. Pour examiner en profondeur les utilisations possibles de l’I.A. dans la résolution des problèmes, Brown a indiqué que nous devons modifier notre façon de penser et nos perceptions de ce que l’I.A. peut faire. Elle a fait valoir que nous devons faire appel à notre créativité et penser à la façon dont l’I.A. pourrait nous aider à guérir les maladies, à améliorer l’accessibilité et à offrir de meilleurs services à la population canadienne.
Toutefois, nous ne pourrons pas progresser tant que tous les citoyens canadiens n’auront pas accès à Internet et à des appareils en état de marche – ce qui, selon Brown, devrait être considéré comme un droit fondamental.
Brown a indiqué que les modes de pensée cloisonnés et les organisations en vase clos nuiront aux avancées dans le domaine de l’I.A. L’I.A. a et continuera d’avoir une incidence sur le marché du travail, puisque de plus en plus d’emplois seront automatisés. Pour tirer le meilleur parti de l’I.A., nous avons besoin les uns des autres; notre façon de structurer nos organisations freine nos efforts.
Les participants ont jugé que son intervention était opportune, visionnaire et réaliste. Avant de terminer, elle a demandé aux participants de discuter des points qui doivent être abordés dans l’ère de l’I.A. : les cloisonnements, la rapidité, encourager différentes façons de penser, transformer l’éducation, l’accès à Internet comme droit fondamental, la main-d’œuvre et l’identité numérique.
Kit Collingwood-Richardson Directrice adjointe, Universal Credit Programme, gouvernement du Royaume-Uni
Kit Collingwood-Richardson et son collègue James Reeve, animés par la volonté de retrouver la passion qu’ils avaient jadis pour leurs emplois dans la fonction publique, ont fondé le mouvement One Team Government en 2017.
La mission du mouvement est d’être « une communauté d’innovateurs axée sur la réforme radicale de la fonction publique par l’action pratique ». Collingwood-Richardson a énoncé les sept principes du mouvement One Team Gov :
1. Travailler de façon transparente et positive
2. Prendre des mesures concrètes
3. Expérimenter et procéder par itération
4. Favoriser la diversité et l’inclusion
5. Être très soucieux des citoyens
6. Travailler au-delà des frontières
7. S’ouvrir à la technologie
Pour souligner la nécessité de mettre ces principes à l’avant-plan, Collingwood-Richardson a énoncé pourquoi ces travaux sont importants : nous aidons à adapter notre secteur à l’ère du réseautage; nous mettons à l’essai de nouvelles façons de diriger; nous démocratisons le changement; nous créons un espace où nous pourrons dire des choses inattendues; et nous donnons de l’espoir aux gens.
Elle a terminé son intervention en lançant un appel à l’action qui a été très bien reçu par les participants :
Si vous n’en pouvez plus d’attendre la révolution, amorcez-la vous-même!
Notre "Salon des conférenciers" a exploré six sujets
Lors de cette séance, le processus de légalisation du cannabis a servi d’étude de cas pour examiner de façon plus générale la nécessité de différentes données probantes pour façonner les politiques, les règlements et l’industrie pour entraîner de meilleurs résultats pour la population canadienne.
Organisée par Monia Lahaie et Lynn Barr-Telford (Statistique Canada)
Conférenciers invités :
Eric Costen (DG, Secrétariat sur la législation et la réglementation du cannabis),
Lynn Barr-Telford (DG, Statistique Canada) et
Austin Lawrence (gestionnaire, Sécurité publique Canada)
L’objectif de cette séance était d’illustrer comment les différentes fonctions des politiques et des communications peuvent travailler ensemble et les résultats puissants qui peuvent en résulter quand c'est bien fait.
Organisée par le Bureau de la collectivité des communications
Conférenciers invités :
Jennifer Hollington (SMA, Santé Canada),
Suzy McDonald (SMA, Santé Canada),
Melanie Sullivan (directrice exécutive, Bureau de la collectivité des communications)
Cette séance visait à présenter la vision bifide aux participants. La vision bifide consiste à apprendre à voir d’un œil avec la force des connaissances etles manières de penser des Autochtones et, de l’autre œil, avec la force des connaissances etles manières de penser des Occidentaux… et apprendre à utiliser ensemble ces deux yeux dans l’intérêt de tous.
Organisée par Rebecca Johnston et Carolyn Laude (RCAAN)
Conférenciers invités :
Albert Marshall (aîné, nation Mi'kmaw),
Dr Cheryl Bartlett (professeure émérite, biologie et science intégrative, Université du Cap-Breton),
Karen Lawford (sage-femme autochtone, professeure)
Dans le cadre de cette séance, les participants ont pu en savoir plus sur l'expérimentation en matière de politiques et de programmes par le biais de multiples études de cas suivies d'une période de questions axée sur l'application de l'expérimentation aux questions de politique.
Organisée par Sean Turnbull (Équipe d’innovation et d’expérimentation du SCT)
Conférenciers invités :
Michelle Lattimore (DG, IRCC),
David Gyarmati (Directeur de recherche, Société de recherche sociale appliquée),
Sarah Chan (Equipe d’innovation et d’expérimentation Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada)
Par le biais d’études de cas sur l'ACS+ bien réalisée et sur l'échec de l'ACS+ mal appliquée, cette séance visait à étudier pourquoi l'ACS+ estimportante pour les Canadiens et quelles sontles compétences nécessaires pour effectuer une excellente ACS+.
Organisée par Jillian Sexton (BPCP) et Natalie Dankotuwage (EDSC)
Conférenciers invités :
Kit Collingwood-Richardson (directrice adjointe, équipe responsable des données, Universal Credit Programme, gouvernement du Royaume-Uni),
Rachel Wernick (SMA principale, Emploi et Développement social Canada),
Tatiana Fraser (co fondatrice de la Fondation Filles d’action, directrice de la recherche, Société de recherche sociale appliquée)
Cette séance comprenait notamment une discussion dynamique et multidisciplinaire sur les effets transformationnels des technologies et de leurs dimensions socioéconomiques dans le cadre de la création de villes intelligentes.
Conférenciers invités :
Gerard Peets (DG, Infrastructure Canada),
Pamela Robinson (Université Ryerson),
Stephen Willis (ville d’Ottawa),
Paul Vallee (Pythian),
Ursula Gobel (vice-présidente associée, Conseil de recherches en sciences humaines du Canada)
Modérateur : Ian Capstick (analyste, Power & Politics Analyst, fondateur de MediaStyle et de Camp)
Les séances ont été conçues pour faire réfléchir divers groupes de personnes sur l’art du possible en ce qui concerne différents aspects de l’élaboration des politiques.
Chaque conversation nous a permis de réfléchir avec les autres et d’étudier ce que nous faisons actuellement et ce que nous pourrions envisager de faire
différemment. Cette occasion de se réunir ainsi en tant que communauté a permis de soulever de nouvelles questions à aborder.
Le Salon Contacts était une réponse directe aux commentaires formulés après la Conférence 2017 selon lesquels le réseautage est un aspect important de toute conférence. Nous avons fourni un contexte semi-structuré pour les rencontres et tissé des liens afin d’évaluer dans quelle mesure cet avantage doit être activement appuyé.
Le résultat : les activités thématiques ont attiré plus de personnes, et les séances « d’experts » ont donné lieu à des échanges fertiles. D’autres essais sont nécessaires.
Les ateliers interactifs de la Conférence ont fourni aux participants un apprentissage par l’expérience au sujet des différents outils, méthodes et meilleures pratiques d’élaboration des politiques. Par le fait même, les séances ont permis aux gens de se rencontrer, de travailler et de jouer avec des collègues occupant un éventail de fonctions en lien avec les politiques.
La conférence dans une boîte a été conçue afin d’élargir la portée de la Conférence de la Communauté des politiques au-delà du site à Ottawa, tout en gardant à l’esprit que certaines expériences peuvent seulement être vécues en personne avec les consignes et les documents les collègues.
Elle offre nécessaires pour organiser une mini-conférence de deux jours avec des collègues, ce qui peut comprendre :
Les opinions formulées à propos de la conférence dans une boîte étaient généralement positives, et cette activité a donné lieu à des conversations enrichissantes dans l’ensemble du pays. Il était particulièrement enthousiasmant de voir nos partenaires provinciaux se joindre à la discussion (c.-à-d. Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse, Manitoba).
La Conférence de la Communauté des politiques 2018 a permis de réunir des gens de différents ministères, de diverses fonctions, de partout au pays et de différents continents. Nous avons posé de grandes questions dans la salle « Comment pouvons-nous », avons exploré et bâti ensemble dans les Ateliers, avons été mis à l’épreuve avec de vraies questions liées aux politiques et avons été inspirés dans le Salon des Conférenciers et durant les discussions plénières et avons participé à d’importantes conversations dans le Salon des Contacts. Et maintenant : nous continuons sur notre lancée.
Si vous souhaitez revivre certaines des expériences ou partager avec vos collègues et équipes, vous trouverez ici les vidéos des discussions plénières et les exercices de groupe de la conférence dans une boîte. Les conversations et les questions qui ont été amorcées à la Conférence ne sont que le catalyseur.
Nous souhaitons continuer à faire fond sur ces thèmes et sujets – et nous avons besoin que vous vous joigniez à nous.
La Communauté des politiques est vocommunauté. Nous vous invitons donc à rester en contact, à participer et à contribuer à façonner cette communauté afin qu’elle soit à votre goût!